Où êtes-vous
mon bel Amour,
Vous et puis
cet ineffable cour
De rêves
enchanteurs et de matins
D’espoirs
timides et lointains ?
Et les
chemins comme toujours cheminent,
L’un hasard,
les autres à l’estime.
Je regarde
les crêtes aux traits lourds,
Là-bas, au
sommet bleu des monts
D’où les
saisons s’en vont,
D’où les
saisons accourent,
En espérant
en rimes quotidiennes
Que la nôtre
revienne
Après avoir
connu tant de détours.
Car les
chemins comme toujours cheminent,
L’un hasard,
les autres à l’estime.
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