Ne dis rien
de la mer,
Oublie un
peu le fleuve
Qui veux-tu
qui s’émeuve
De ce que
toi tu perds ?
Laisse au
ciel ses nuages
Courant sur
les embruns,
Et ses beaux
paysages
A ta Loire
en écrin,
A ce flot
son rivage,
Son sable à
l’océan,
A l’oubli
ces ombrages
Et ce rêve
au néant.
Du rocher à
la vague
Jusqu’aux
arches du pont
Le même écho
divague
S’étonne et
se répond.
Et que tu le
saisisses
N’importe
pas ou peu :
Délice avec
cilice
Rime autant
qu’il se peut.