Au long des
quais fardés,
Noirs des troncs
dénudés
Sur le blanc
de la neige :
L’hiver a
son solfège,
Le refrain
des corbeaux
Pensifs au
bord de l’eau
Ou celui des
mouettes
Qui s’envolent
inquiètes.
Qui s’envolent
inquiètes
Écorchant de
leur cri,
Mille et
cent fois repris,
Des rives immobiles
Aux reflets
inutiles.
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