dimanche 17 janvier 2010
Le long des quais.
Tôt le matin, le long des quais
Où le blanc Hiver se complait
Aux ombres bleutées du silence,
S'en va,marchant sans impatience,
Un passant dont le nom se perd
Dans ma mémoire et qui ne sert,
Comme un cerne au bord d'une image,
Qu'à préciser le paysage.
Matin d'Hiver au bord d'un quai
Où la ville endormie se tait,
Matin de froid et de quiétude
Au bord glacé de certitudes
Que chaque pas rappelle ainsi:
Toujours, maintenant et ici.
***
samedi 2 janvier 2010
Voeux.
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