A l’heure où
la nuit se rapproche
L’étang
devient d’un bleu profond
Et l’or
embrase l’horizon,
Le vent
porte le son des cloches.
L’air a
fraîchi, l’odeur des prés
Au
crépuscule m’accompagne,
La paix
envahit la campagne
De l’ombre
au couchant empourpré.
Le soleil s’est
éteint sur l’eau,
Tes yeux
reflétaient tout un monde…
Après cette
heure vagabonde
Que tu es
triste de nouveau !
Mais qui se
réjouit de l’amour
Quand ce que
l’on partage
Ce n’est que
la fuite des jours
Et la
crainte de quelque orage ?
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