Le glas lointain d’un clocher
solitaire,
L’écho d’un cor tout au fond d’un
vallon,
Le ciel brumeux, la neige sur la
terre,
Des traits aimés qu’on quitte à
reculons,
De tout cela naît la même tristesse
Qu’à sa lecture on retrouve en ton
mot ;
Le cœur amer tu crois en sa justesse
Mais du bois mort naîtront d’autres
rameaux,
Il reviendra cet absent de tes pages,
Les prés seront en fleurs sous le
ciel bleu,
Le cor entonnera un air joyeux
Et le clocher sonnera ton mariage
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