De sautes d’humeur
En « presque
éclaircies »,
Ce long jour
se meurt
Sans
péripéties.
Il n’apporte
rien
Non plus qu’il
ne prive
De rien ;
mal ou bien,
Non, rien ne
l’avive.
C'est un jour
d’été
Sans profit
ni perte
Qu’on ne
peut traiter
D’heureux ou
d’alerte
Mais qui
pour autant
Ce soir ne
me laisse
Pas trop
mécontent
Quand son
compte cesse.
Que vouloir
de plus,
Si peu qu’ils
paraissent,
Qu’un calme
imprévu,
Qu’un peu de
paresse,
Qu’un jour
bien à soi
Où rien ne
se passe,
Où rien ne
déçoit,
Ne fâche ou
ne lasse ?