Soleil d’Automne,
ultimes roses,
Et par-dessus
l’inconstance des choses,
Le désir et
l’espoir d’être à jamais
Quand tout
périt un jour, quand tout se tait.
A quoi me
servez-vous, prose et poèmes
Si ce n’est
à cela ? Quelquefois même
Me prenant à
ce jeu, ravi, j’y crois
Pour mon
étonnement et mon effroi.
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