Il est des
parcs dans la littérature
Comme il en
est aussi dans la nature,
Les uns
joyeux, les autres désolés
Où quelque
amour un jour s’est envolé.
Dans tous
ces parcs, sous le feuillage sombre,
Déambulent
par deux les mêmes ombres,
Celles qu’on
voit glisser sous les ormeaux
Ou celles qu’on
devine entre les mots.
Celle-ci murmurant,
l’autre muette
Et toutes
deux passant à la sauvette,
Le long de
quelque allée aux souvenirs
Comme au fil
des feuillets qu’on voit jaunir.
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