samedi 10 juin 2017

Votre main.





Une odeur de jardin
Entre par la fenêtre,
Et ce n’est pas la fin
De mes nombreux « peut-être » ;
Un pour ce jardin-ci,
Un pour cette tendresse
Qu’il me faudrait aussi,
Un pour cette allégresse
Dont j’ignore le goût,
Un autre pour mes rêves
Et mes amours surtout
Que rien ne les achèvent,
Un pour moi, c’est certain,
Un pour vous quand bien même
Je cherche votre main ;
Quand ferez-vous de même ?

                        ***       

Aucun commentaire: