Les platanes
de l’avenue
Aux branches
presque nues
Qu’un vent
du Nord dénude
Encore, n’en
sont qu’aux préludes.
Je ne sais à quoi sert
Par un matin d’hiver
D’évoquer le printemps,
Ton sourire et pourtant…
Moi, de ma
fenêtre de pluie
Où le ciel
gris s’ennuie
Je me
souviens d’une fête.
Comme les
souvenirs s’entêtent !
Je ne sais à
quoi sert
Par un matin
d’hiver
D’évoquer le
printemps,
Ton sourire
et pourtant…
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