Dans un pré
sur la colline
Il danse une
ombre divine
Dont le
visage a l’attrait
Des nuits au
fond des forêts.
On ne sait
quelle musique,
Légère,
guide ses pas
Dans quel
rêve mirifique
Que l’on n’imagine
pas.
C’est
toujours la « Seule-Encore »
Que j’attends,
que je déplore,
Qui danse,
danse sans fin
Du crépuscule
au matin.
Et ce sont
les jours, les heures,
Les siècles
ou les saisons…
L’amour dont
c’est la demeure
N’a ni rime
ni raison.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire