dimanche 15 septembre 2019

La danse sur la colline.




Dans un pré sur la colline
Il danse une ombre divine
Dont le visage a l’attrait
Des nuits au fond des forêts.

On ne sait quelle musique,
Légère, guide ses pas
Dans quel rêve mirifique
Que l’on n’imagine pas.

C’est toujours la « Seule-Encore »
Que j’attends, que je déplore,
Qui danse, danse sans fin
Du crépuscule au matin.

Et ce sont les jours, les heures,
Les siècles ou les saisons…
L’amour dont c’est la demeure
N’a ni rime ni raison.

                               ***

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