Le quotidien
a fui
Remplacé par
l’absence ;
Est-ce à
vous que je pense ?
L’heure vide,
sans bruit,
Approche de
minuit
Sans faire
diligence,
Et que faire
à minuit ?
Mais rêver
de silence
Et de
tranquillité,
De solitude
intense,
Oui, rêver
de silence,
D’un paysage
immense,
D’un instant
arrêté
Pour rêver
de silence
Et de
tranquillité.
Non, de rien
d’autre et puis
C’est aussi
bien, je pense ;
Vous en
voyez le fruit
Dans ces
trois mots qui dansent
Et que rien
ne conduit.
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