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(Parc du château de Chenonceau - Indre et Loire.) |
Le temps s’en
vient, s’enfuit ou traîne
Mais moi je
ne fais que passer
Comme les
saisons sur la plaine
Et quatre-vingt
seront assez.
Si chacun me
voit sans bagage
A plus de la moitié du tout
Je n’en
aurai que moins de gages
A payer à la
Mort au bout.
Ainsi vont
les chemins du monde,
L’espoir et nos
vœux de surcroît
Jusqu’à nos
amours vagabondes
Et nul ne
sait que ce qu’il croit.
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