Un soir si
doux, le vent du crépuscule…
Dans les
feuillages verts se dissimule
Une pointe d’automne
aux reflets roux,
Les bancs se
sont vidés autour de nous.
Un rayon de
lumière et partout l’ombre
Où ce
dimanche d’août lentement sombre ;
Au bout
lointain du parc, un chien qui court,
J’attends en
regardant la fin du jour.
Le vent
fraichit et c’est l’heure où l’on pense
A cet été
que l’on voyait immense
Mais qui
déjà fait un signe d’adieu,
Presse le
pas et déserte les lieux.