vendredi 21 septembre 2018

Dans le parc.




Un soir si doux, le vent du crépuscule…
Dans les feuillages verts se dissimule
Une pointe d’automne aux reflets roux,
Les bancs se sont vidés autour de nous.

Un rayon de lumière et partout l’ombre
Où ce dimanche d’août lentement sombre ;
Au bout lointain du parc, un chien qui court,
J’attends en regardant la fin du jour.

Le vent fraichit et c’est l’heure où l’on pense
A cet été que l’on voyait immense
Mais qui déjà fait un signe d’adieu,
Presse le pas et déserte les lieux.

                               ***

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