C’est l’heure
vide et nue
Des
dimanches déserts
Quand meurt
au fond des nues,
Pâle, un
jour qui se perd
Et que dans
les allées
Des jardins
silencieux
Nos amours
désolées
Nous
plaignent d’être vieux…
Que
dites-vous ma mie ?
C’est l’ombre
ou c’est le froid
Ou votre
fantaisie
Qui vous
trompent je crois.
Dans la nuit
le murmure
De mes mots
s’est perdu
Et dans leur
fuite obscure
Nulle n’a
répondu.
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