La nuit s’installe
nonchalante
En l’herbe
humide des jardins
Que la
fontaine calme enchante.
La cloche a
le timbre argentin
Des cloches
aux soirs d’Italie
Et la grève
blanche le sait,
L’heure
douce n’a point d’envie
Et le
crépuscule est de paix.
Mais pour
raconter cette histoire
Ces mots ont
voyagé sans fin
Par monts,
par vaux et par mémoire
Où certains
perdent leur chemin…