Ce ne sont
dans la nuit tranquille
Que quelques
notes de piano
Qu’on dirait
un peu malhabiles
Mais qui
parlent plus que des mots.
Sur des
touches mélancoliques
Un air mille
fois entendu
Et pour lui
donner la réplique
Des jours
passés, des lieux perdus…
Ces notes
qui courent les rues
Ne savent
pas qui les entend,
Mémoire
oubliée ou relue,
Elles s’en
moquent tout autant.
Décidément
la nuit est belle,
Le piano
reprend lentement ;
Qui de vous
sait ce qu’il rappelle ?
Peut-être un
prénom seulement…
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