Celle que j’aimais
autrefois
Et qui fut
mienne un jour, est morte ;
Ce soir il
faut ouvrir la porte
A mes vieux
souvenirs. .. Pourquoi ?
Parce qu’un
vent de nuit murmure
Ces mêmes
mots de notre foi
D’alors. Ces
pauvres mots qui furent
Les tout
derniers et que je crois
Qu’il est
grand temps que je regarde
En arrière,
pour essayer
De retrouver
celle qui garde
Mon cœur au
pays oublié.
Je ne sais
dans quelle demeure
Elle aura
passé tout ce temps…
J’ai rêvé d’elle
tout à l’heure ;
C’est vrai,
je sais qu’elle m’attend.
***