Dans l’herbier
de la vie
Que de
fleurs ont séché
Dont les
couleurs ternies
Ce matin m’ont
fâché.
Leur éclat
éphémère
Ne se
conserve pas,
Les plus
belles naguère
Ont perdu
leurs appas.
De l’une à l’autre
page
On retrouve
si peu,
Parfois un
paysage,
Un parfum si
l’on peut…
Voici venir
l’aurore,
C’est un
jour de printemps ;
Vie et prés
se déflorent
Et fanent
tout autant.
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