Ma vie,
ombre chinoise
Sur le ciel théâtral
Où le bien
et le mal
Viennent nous chercher noise,
Ombre
caricature,
Sur le
papier journal
D’un autre
jour banal
Dont je fais
la lecture,
Cette heure
qui me poise[1]
- Comme eût
écrit Villon –
Car le temps
se fait long
Et longue
aussi l’ardoise,
Ombre du
clair obscur
De toutes
nos sentences
Et de notre
existence
Où rien n’est
jamais sûr,
Ce soir, où
je te croise,
Qui donc
mène le bal
Sur ce ciel
théâtral,
Ma vie,
ombre chinoise ?
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