A qui ne s’est jamais complu
Aux beautés par trop éphémères
Des horizons irrésolus,
A qui ne s’est jamais complu
Dans les mêmes mots trop relus,
J’offre ces couronnes amères,
Où ceci s’écrit : « A naguère,
Et puis à l’amant inconnu,
A qui ne s’est jamais complu
Aux beautés par trop éphémères.»
***
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire