(Crépuscule sur le Scharrachberg - Alsace.) |
En oubliant l’heure qui passe
- Ce que je n’ai jamais osé –
Je veux enfin me reposer.
Mais ce temps dont j’ai mal usé
En mon cœur a laissé des traces,
Au point que le voilà blasé,
Incrédule à toute bonace[1].
Mon cœur, il faut vous accoiser[2]
Et ne plus parler qu’à voix basse :
Je veux enfin me reposer
En oubliant l’heure qui passe.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire