C’était un
jour d’anniversaire
Où, c’est
vrai, je n’ai pu faire
Beaucoup
plus de choses pour toi
Que
souhaiter de vive voix
Ce qu’on
souhaite d’ordinaire
En pareille
occasion pour plaire.
Tout en rêvant
de faire mieux,
Je me
disais, eh bien, mon dieu :
Je n’ai pas
pu t’offrir de perles
Pas plus d’ailleurs
que de diamants,
Tout juste
les mots d’un amant ;
Faute de
grive on mange un merle.
Je n’ai pu t’offrir
de vison
Ni de voyage
romantique
Mais mon cœur,
mon corps, ma raison ;
N’est-ce pas
un bon viatique ?
En y
repensant après coup
Peut-être
ai-je tort sur le tout…
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