Peu de
choses pour nous et pourtant l’univers,
Guère d’argent,
bien sûr, mais le monde et mes vers
Pour redire
l’espoir, l’amour et le courage,
L’autrefois
oublié, le présent de passage
Et ce qui
nous unit et ce qui nous partage
Et ce qui
nous libère et ce qui nous engage,
Ce qui
demeure ferme et non ce qui se perd,
De l’été de
notre âge à son plus bel hiver.
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