« Solitude
ton nom
Se grave en
feuilles mortes
Au pied de
chaque tronc
Et, mots d’une
autre sorte,
En rides sur
mon front.
Dos voûté de
l’attente
A la fin d’un
matin
Dont les
heures sont lentes,
Ban public
et jardin,
C’est peu ;
je m’en contente. »
Je ne sais
ton souci
Moi, le
passant qui passe
Mais qui
regarde aussi
Et ces
paroles lasses
Que je te
prête ainsi
Sont celles
que m’assure,
Pour toi,
mon intuition,
A deux pas
de la préfecture
Où tant de
déceptions
Et tant d’espoirs
murmurent…
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