Leur silence est particulier,
Eux-seuls ils ont cette lumière
Comme d’un pays oublié
Et cette paix si familière.
Ils ignorent toujours le temps
Entre calme et fainéantise
Et quelque part on y entend
Sonner la cloche d’une église.
Le passé s’y change en présent
Et chaque chose est à sa place
Et chaque geste est apaisant
Et toutes les craintes s’effacent.
Ce sont, revenus d’autrefois,
Ces dimanches heureux qui brillent
Où parmi les ombres l’on voit
Sourire encore une famille…
***
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