Il va par
les sillons des champs,
Un semeur appelé
Printemps,
Plongeant sa
main dans sa besace
Pour semer
le blé à fouace,
Le blé qui
lèvera bientôt.
Moi je ne
sème que des mots
Qui s’en
vont et qui se dispersent
Au gré du
vent et de l’averse,
Par les
villes et les hameaux
Mais que
peut-il naître des mots ?
***
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