Que fais-je
assis sur cette chaise
Quand l’Automne
s’épanouit :
L’or brille
aux lointains inouïs,
La pourpre,
aux bois, est en cimaise ?
Que fais-je entre quatre murs blancs
Quand même l’ardoise
scintille
Et que le
ciel de bleu s’habille
Au-dessus
des chemins tentants ?
Il n’est pas
de mots qui suffisent
Pour cette
caresse du vent
Quand le
matin à l’aube ment
Entre la fraîcheur
et la brise…