La nuit s’installe
sur la ville
Où je
promène encor mes pas
Rêvant à des
choses futiles
Que ma rime
ne retient pas.
Que ce soit
branches ou brindilles,
L’Hiver a
souligné de blanc
Les arbres
qui doucement brillent
Le long des
quais environnants.
Amour, dont
les regards scintillent
Au panthéon
d’un autre temps,
Entre vous
et moi que de grilles,
Et que de
verrous cliquetants !
Comme mes
main sont malhabiles
Dans le
froid où j’écris cela ;
Combien les
mots sont inutiles
Au promeneur
que je suis là.
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