Brumes du
soir ou du matin,
Moi qui
préfère l’équivoque,
C’est bien
volontiers que je troque
Le précis
contre l’incertain.
Charme de l’ombre
entraperçue
Qu’on ne
peut suivre du regard
Et qui vous
laisse pour plus tard
Ce regret
des amours déçues…
Tous ces « peut-être »
d’un instant
Qui
sacrifient à l’éphémère,
Ces
illusions douces-amères
Vous disent
peu mais donnent tant.
Brouillard,
incertaine promesse
Des horizons
qu’on entrevoit
Au gré du
songe de son choix,
Faut-il qu’un
enchantement cesse ?
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