L’automne d’un
matin
Sur
un plan d’eau perdu
Dans le dédale
ancien
Et
les chemins perclus
De ma mémoire.
Brouillards accumulés
Et
reflets d’eau lointaine
Aux barques submergées
Dont
la surface vaine
D’aube se moire.
Comment mettrais-je
un nom
Sur
telle résurgence
Plus qu’imprécise
au fond
Et
sur telle distance
Qu’on n’y peut
croire ?
***