(Carnaval de Bâle 2008.) |
Depuis plus
d’un mois
Je reste
chez moi
A lire, à
écrire,
Sans
beaucoup sourire
Mais sans
grand émoi.
Ce n’est pas
un choix,
C’est :
« Fais ce que doit ! »
Il y a bien
pire,
Cela va sans
dire
Et je me
tiens coi.
N’étant pas
du bois
Des flûtes,
ma foi,
Je rêve et j’aspire,
J’espère et
désire
Tout comme
autrefois.
Deux mois à
l’étroit,
Trois si je
m’en crois,
Ne sont -je soupire-
Pas un grand
martyr
Ou de peu de
poids.