Roses
couleur d’été, marronniers de l’automne,
La rose dit
l’instant et l’arbre ce qui vient ;
Cet instant
c’est le vôtre et ce baiser le mien,
Faudra-t-il
plus avant que l’un de nous raisonne ?
La rose de
décembre est pauvre de parfum
Et sa
corolle triste au vent glacé frissonne…
On goûte à
ce qui s’offre, on prend ce qui se donne,
L’été, vous
le verrez, est bien vite défunt !
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