Quoi de plus
fugitif
Que l’ombre
d’un beau rêve ?
Les mots du
plumitif
Et le jour
qui se lève ?
Un poème d’amour ?
Un regard
dans la rue ?
La rivière
qui court
Et le
printemps en crue ?
La beauté du
lilas
Ou le cœur de
la rose ?
Et ce qui se
lit là
Comme on lit
de la prose,
Qui ne va
pas durer
Plus que ces
quelques lignes
Qui courent
de bon gré
Où le sort
les assigne.
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