Dans la
maison des routes closes
Au grand
jardin planté de roses
Il n’y aura
que vous et moi,
Antan, jadis
et autrefois.
Mais sur l’horizon
de passage,
Quatre
saisons d’un paysage
Et puis des
souvenirs gigognes,
Parfums anciens
d’eau de Cologne,
Des savons à
la rose-thé,
Ces noms et
ces mots emportés,
Tout un ciel
avec sa lumière
Et la vie à
notre manière,
Comme un
dimanche en ses atours
Un peu plus
souvent qu’à son tour;
Qui le voudra
verra en somme
Il y a là ce
que nous sommes.