C'est un jour qui n'existe pas
Dans un pays imaginaire;
C'est assez curieux mais là-bas
Je crois que je pourrais me plaire.
Un ciel de nuages bourrus,
Des bois frissonnant de flammèches
Flamboyantes où le vent prêche
L'Automne en tous sens parcouru.
Là-bas ondulent des collines
Où l'herbe folle pousse dru,
De-ci, de-là, le long d'un rû,
Un chemin changeant se dessine...
A l'heure des rêves reclus
La chaleur de l'âtre s'impose
Où somnolent, entre autres choses,
Beaucoup de celles qui m'ont plu.
Ce que les yeux embrassent
Dit l'étape et le voyageur,
L'errance autant que la ferveur
Et qu'au moins là-bas j'ai ma place
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