Sur les
champs moissonnés
Glisse le
crépuscule,
Août a
presque passé
Sur les
champs moissonnés.
L’été qui
vînt s’en va
Sans
chansons ni vivats.
Le temps s’est
trop pressé,
Voici que
tout bascule
Sans avoir
commencé ;
Glisse le
crépuscule.
L’été qui
vînt s’en va
Sans
chansons ni vivats.
Hors des
chemins lassés,
Vers l’horizon
qui brûle,
Sur les
champs moissonnés
Glisse le
crépuscule.
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