Je regarde
le temps passer
Avec le
monde, autour de moi
Sans
recherches et sans penser,
Sans plus de
tristesse ou d’émoi.
Le printemps
coule au long des quais
Tout comme
ma vie autrefois,
Il y
scintille des reflets
Que je
pourrais toucher du doigt.
Moi le
reclus, moi l’oublié,
Moi que plus
rien ne peut lier,
Le malheur n’est
plus à mes trousses,
De quoi
devrais-je me soucier ?
Il fait si
bon à l’ombre douce.