Heures du
crépuscule outrepassé
Disparaissant
comme des souris grises
Au coin
pensif des meubles où, lassé,
Un ultime
reflet du jour s’irise,
Au théâtre
du Temps toujours pressé,
Entracte où
la douleur n’est plus de mise,
Heures de
nos souvenirs amassés,
Riches de
rêve et d’ombres indécises,
Quels sont
ces mots, alors que tout se tait,
Qu’un jour
murmure en s’effaçant en paix ?