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jeudi 18 janvier 2018

Petit poème pour les enfants.





Il était une fois un chat,
Une chatte et quatre chatons.
Un de s’enfuir se dépêcha,
De deux autres on fit l’achat,
Le quatrième se cacha
Puis il miaula sur tous les tons
Afin que quelqu’un le cherchât.

L’enfui que sa route fâcha,
Se moquant du qu’en dira-t’on,
Sur mon vieux fauteuil se percha ;
Chaque acheté se revancha
En revenant où il marcha,
En les accueillant en veston
Le quatrième les lécha.

Morale – et la strophe est finie - :
Rien n’est plus beau qu’une famille unie.

                               ***

Le merveilleux petit chat qui illustre ce texte est dû au pinceau d’une créatrice de talent, Madame Nouchine ARBOGAST que je remercie vivement et dont vous pouvez retrouver le travail à l’adresse ci-dessous.



mercredi 11 janvier 2017

Conte de Fées.






Cendrillon aujourd’hui resterait Cendrillon
Et Gepetto serait sans pantin ni grillon,
Peau d’Âne rejoindrait la petite Cosette,
Peter Pan grandirait en oubliant Clochette
Quant au Charmeur de Rats il serait ouvrier
Et le Petit Poucet, tout à fait oublié.
A quoi bon vous parler de Riquet-à-la-Houppe,
Des Musiciens de Brême, un remarquable groupe,
Du Roi Bec-de-Corbin ou bien du Chat-Botté ?
Vous n’êtes pas de ceux qui s’en laissent conter,
Ces histoires d’antan -trop simples et trop brèves ?-
Ne vous conviennent plus, vous avez d’autres rêves
Mais c’est bien un peu triste et dommage à la fois ;
Si vous saviez combien de bonheur on leur doit,
Combien se sont assis avec un grand sourire
Auprès d’un lit d’enfant, le soir, pour les lui lire,
Si vous saviez combien de bonheur on leur doit
Et quels beaux souvenirs, comme je le sais moi !

                               ***

jeudi 20 août 2015

Lorsque les Enfants s'en vont...






C’est un matin où se mélangent
Beaucoup de joie et de chagrin
Pour un début et une fin
Mais il est bon que les jours changent.

Car lorsque les enfants s’en vont,
La vie finit et recommence,
Recommence d’autre façon
Mais sans combler ce vide immense !

On beau se dire : c’est bien,
Lorsque le chemin les emmène
On a quand même de la peine,
Ils étaient tout, on n’est plus rien.

On leur souhaite bonne chance,
On se réjouit même avec eux
De leur nouvelle indépendance
Et l’on voudrait pleurer un peu.

                          ***