Et voici que
naît quelque chose de sombre,
De dur et de
cassant,
Une pierre
aride au froid venu de l’ombre
En reproche
incessant.
C’est un
fardeau noir et c'est un mal inique
Qui vient
avec le temps ;
Prenez au
miroir ce rire sardonique
Que ce matin
vous tend,
Il est bien
trop tard pour faire des manières
Ou changer
de façon,
Le monde en
allé, c’est la mort qui conquière
Et donne la
leçon.
Les heures d’alors,
vous les direz amères
Puisque tel
est leur nom
Et qu’il
faut ouvrir votre bouche à la terre
Sans pouvoir
dire non.