(Château de Chambord.) |
Qui me
rendra l’iris et la rose trémière,
La paix mais
cette paix d’alors
Qui pourrait s’écrire « lumière » ;
Qui me
rendra l’iris et la rose trémière ?
Ce que nulle
sagesse à la fin ne conquière,
Cet
émerveillement si fort
Qu’il
dépasse toute prière
Et tout
bonheur jusqu’à la mort ;
Qui me
rendra l’iris et la rose trémière,
La paix mais
cette paix d’alors ?