Des toits et
des clochers dans la ville lointaine
Chantent
pour moi le jour, et toute la semaine,
Le vent qui
souffle ici m’en apporte l’écho
Lui qui sait
consoler ma peine à demi-mots.
Aux murs de
ma prison cet ami m’accompagne,
Il sera là
demain de forêts en campagnes
Lorsque je m’en
irai pour retourner chez moi
En chantant
ma cité, ses clochers et ses toits.