Ayant écrit
d’à peu près tout
Je me
retrouve à court de thème ;
Je ne sais
pas, c’est un peu fou,
Comment
faire un nouveau poème.
Il n’y a que
quatre saisons,
Les peines
de cœur se ressemblent,
J’ai trop
parlé de mon balcon
Et des
craintes qui nous rassemblent.
Le suaire
est fort oppressant
Et l’espérance
est mensongère,
Le désir est
assez lassant,
La violence
m’est étrangère.
Mon chien m’a
fourni bien des vers,
Ma solitude
est très usée,
Autant que
le temps que je perds
A ces
strophes mal composées.