samedi 25 mai 2013

Ce qu'il Faudrait.



 
 
Il ne faudrait guère, ma mie,
Qu'un peu de soleil dans le pré,
Dans le bois après la prairie
Qu'un chant d'oiseau à écouter,
Qu'une rivière qui sourie,
Que le ruisseau pour raconter,
Que la cloche au lointain qui prie,
Que la brise pour murmurer
Et qu'un instant de rêverie
Pour que je sois heureux un jour
Mais il me faudrait, belle amie,
Rien moins, je crois, que votre amour
Pour le rester toute ma vie.
 
             ***

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